Tu connais sûrement ce moment frustrant : tu viens de grimper un col, tu bascules dans la descente, prêt à te reposer… mais un autre cycliste te dépasse sans même pédaler. Tu regardes ton compteur : tu ne freines pas, le vent est calme… et pourtant, tu vas moins vite.
La vérité, c’est que ta position en descente est peut-être en train de te freiner. Littéralement.
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Pourquoi la position change tout
En descente, ce n’est pas ta puissance qui fait la différence, mais ton aérodynamisme. Et là, chaque détail compte : position du torse, des bras, des genoux, du casque…
Les pros le savent : ils passent en “position de descente” bien avant d’atteindre leur vitesse max. Le dos bien plat, les avant-bras posés sur le cintre, le menton proche de la potence… le tout sans compromettre le contrôle du vélo.
En revanche, si tu restes assis bien droit, ou si tu écartes trop les genoux, tu deviens une voile. Le vent te freine, même si tu ne t’en rends pas compte.
Les 3 erreurs les plus fréquentes
- Trop de surface frontale : si tu restes droit, bras tendus, tu exposes ton torse au vent. Tu perds plusieurs km/h sans t’en rendre compte.
- Genoux écartés : c’est un détail qui tue. En les resserrant contre le cadre, tu gagnes en stabilité et en aérodynamisme.
- Casque mal orienté : si l’avant de ton casque est trop relevé, c’est un pare-brise. Penche un peu la tête et rentre le menton pour mieux fendre l’air.
Ce que les pros font différemment
Ils anticipent. Dès qu’ils passent le sommet, ils adoptent une position optimisée. Ils ne cherchent pas à se reposer, mais à accélérer sans effort.
Sur certaines descentes du Tour de France, les gains sont énormes : jusqu’à 5 à 10 km/h de plus sur la même pente, simplement grâce à une position plus efficace.
Si tu veux tester ça à ton niveau, commence par de petites descentes droites, sans virages techniques. Rentre le torse, plie les bras, serre les genoux, baisse légèrement la tête… et observe le compteur.
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Et si tu veux progresser vraiment
La position ne fait pas tout. Si tu veux aller plus vite partout (montées, descentes, plats), tu dois aussi :
- Améliorer ta puissance en montée, avec des séances comme la force en côte longue
- Travailler ta gestion de l’effort, avec des séances comme l’endurance progressive
- Et bien sûr, connaître les muscles sollicités à vélo pour adapter ton entraînement
Le poids, toujours le poids…
En descente, le poids joue un rôle… mais pas comme tu le crois. Un cycliste plus lourd ira souvent plus vite, à condition d’être aussi bien positionné.
En revanche, un excès de poids te pénalisera en montée, te fatiguera plus vite, et te forcera à compenser ailleurs. Si tu veux retrouver un bon rapport poids/puissance, commence ici :
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À retenir
- En descente, ce n’est pas ta force qui fait la différence, mais ta position
- Tu peux gagner jusqu’à 10 km/h juste en changeant ta posture
- Les pros optimisent chaque centimètre pour aller plus vite sans pédaler
- Tu peux tester ça toi-même… et voir la différence sur ton compteur
Et la meilleure partie ? Tu peux t’entraîner à ça comme pour le reste. Commence par identifier les bons gestes… et n’aie pas peur de filmer tes descentes pour corriger ce qui freine.
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